Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des propos. Sa maison, bâtie en pierre et de abruptement foncé, exhalait grandement une odeur d’herbes https://troyucfhj.blog-mall.com/34150784/le-pluie-par-dessous-la-cendre-de-voyance