Dans un seul cabinet basé en périphérie de marseillan, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de dix ans dans une discrétion supérieure. Les murs en filet lumineux, l’odeur d’huiles prédominantes et le vacarme régulier formaient l’écrin parfait pour les séances journalieres. Jusqu’au ouverture où, en plantant une aiguille au https://augusterydj.eedblog.com/34190640/le-pas-cerveau