Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les faims danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une inspiration lente, une coutume débarquée d’un acte familial répété sempiternellement. https://sergiobxnbn.fireblogz.com/65489452/les-silhouette-qui-persistent