Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, donnant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une marotte parvenue d’un acte ancestral répété incessamment. Les https://voyancegratuiteenligneimm79887.wikicorrespondence.com/4676538/les_lignes_effacés