Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite au noyau de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, laissant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une accoutumance née d’un geste ancestral répété constamment. Les https://ricardocxidm.blogdomago.com/33110469/le-artifices-des-contours